Il y a une phrase très particulière qui dit plus de mots ou de mots moins les suivants, «le battement d’un papillon peut provoquer un ouragan». Eh bien, cet ouragan nommé d’après Brexit il a frappé le Royaume-Uni avec des vents violents. La mise en œuvre du Brexit en 2021 a entraîné des complications pour les Britanniques, dont l’une a directement affecté les domaines européensDes dizaines de milliers de ces webmasters ont été suspendus d’un seul coup et de manière inattendue.
La mesure en question il a son explication dans le gestionnaire de domaine européen.eu (EURid), cette entité est en charge de s’assurer que ces espaces sont utilisés correctement et qu’ils sont conformes à l’ensemble de la réglementation qui les régit. L’une de ces conditions est qu’elles sont à l’usage exclusif des résidents de l’Union européenne. Avec le Brexit en vigueur, le Royaume-Uni cesse de bénéficier de cette prérogative lorsqu’il est en dehors de l’Union européenne.
Les Britanniques ont été avertis de cette conséquence du Brexit
Depuis 2018, la Commission européenne Y EURid ils avaient tiré la sonnette d’alarme pour l’approche de l’ouragan. Utilisant leurs fonctions, ils avaient averti en temps opportun que l’arrivée du Brexit entraînerait des dommages collatéraux, et apparemment tous les 300000 domaines qui existaient cette année-là n’avaient pas tenu compte des avertissements.
Logiquement tout n’est pas perdu, Les 81000 domaines suspendus ont jusqu’au 31 mars pour chercher à réparer les dégâts, et éventuellement faire des ajustements qui ne sont actuellement pas clairs pour leur permettre de résister à la tempête et de reprendre le contrôle de leurs records. S’ils ne le font pas, à partir de 2022, leurs domaines seront disponibles pour être enregistrés par d’autres utilisateurs.
La solution n’est pas aussi simple que d’obtenir un autre domaine, ils doivent être clairs que cela implique du temps et la perte de tout le positionnement qu’ils avaient réalisé dans le cyberespace, ce qui peut être dévastateur pour les petits et moyens sites.
Via | ZDnet