Une réflexion sur l’exemption pour l’industrie des boissons non alcoolisées

by Sally

Une réflexion sur l’exemption pour l’industrie des boissons non alcoolisées
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J’entends en passant, à la télévision, que le Sénat veut inclure dans le budget de l’an prochain la prévision d’incitatifs fiscaux pour l’industrie des boissons gazeuses. Pqp.

Ce doit être la justification ancienne et ridicule utilisée, par exemple, pour l’IPI zéro pour les automobiles : préserver les emplois. Au nom de la santé publique, cela ne devrait pas être le cas.

Les remises et exonérations d’impôts et autres taxes (frais, cotisations, tarifs) devraient être super, SUPER judicieuses, utilisées pour favoriser le développement des régions et des activités d’un grand intérêt pour la société. Mais non, nous accordons toujours des avantages aux activités ayant un impact NÉGATIF ​​dans le pays.

La foutue incitation à acheter une voiture zéro n’a pas empêché le chômage chez les constructeurs automobiles, parce que les gens ne continuent pas à acheter de nouvelles voitures tout le temps. En effet, lorsqu’elles s’endettent pendant 72 mois avec leurs voitures, elles renoncent à d’autres acquisitions, s’embarrassent d’autres dettes, s’enfoncent dans les intérêts bancaires… impactés négativement par l’incitation à la voiture, ils reçoivent encore moins de miettes de l’Union.

Mais, comme l’a dit Lula lors d’un événement, « ceux qui demandent le métro sont riches, les pauvres veulent une nouvelle voiture ». Beauté de l’inclusion sociale.

Cela me manque quand les soi-disant gauchistes de Lula pensaient que Cuba avait une vieille voiture magnifique, car l’important là-bas était d’investir dans la santé et l’éducation.

Dernière modification : 11 juillet 2018

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