La DGT explique comment fonctionne sa technologie la plus avancée pour détecter les infractions à 500 mètres | Moteur

by Jack

Les radars sont de vieilles connaissances et ont certaines limites. La DGT dispose déjà d’une technologie pour amender beaucoup plus efficacement.

La Sens général de circulation nous rappelait il y a quelques jours sur Twitter son arme pas si secrète, pour mettre des amendes à 500 mètres.

Ils sont en action depuis quelques années maintenant, mais maintenant il explique comment ils fonctionnent dans le magazine DGT.

On parle de les drones, qui peuvent voler vers 120 mètres de haut et, grâce à des caméras haute définition, attraper une infraction à 500 mètres.

Les drones prennent en charge la surveillance, le contrôle et la gestion du trafic sur nos #routes depuis les airs 🕊️👁️. Ils ont un rayon d’action de 500 m. et ils sont équipés d’une caméra haute définition 📹. En savoir plus sur leur fonctionnement 👉 https://t.co/OSZwgREJTd #BestMoreSlowly💟 pic.twitter.com/BrLuuiwCi8

– Directeur général de la circulation (@DGTes) 5 janvier 2022

Actuellement la DGT utilise six types de radars : portiques, poteaux, cabines latérales, véhicules, trépied et travée.

Cela a aussi plus d’une douzaine d’hélicoptères, et les drones susmentionnés, qui surveillent généralement les autoroutes et les sections où de nombreuses infractions se produisent.

Les drones ont une autonomie d’environ 20 minutes, et sont contrôlés par télécommande au moyen d’un pilote de la Garde civile, à partir d’une voiture à proximité.

Si vous souhaitez acheter un drone avec une caméra, ce marché n’a cessé de croître et il devient de plus en plus facile de trouver un modèle à votre portée. Nous vous montrons le meilleur.

L’agent voit la même chose que le drone à travers un écran, et peut enregistrer les infractions, valables devant un juge.

Le vidéo est envoyé en temps réel du drone aux installations de la DGT, qui la traite et détecte les infractions, pour les communiquer au contrevenant (et clouer l’amende correspondante…).

C’est une technologie qui a donné de bons résultats au cours des deux dernières années, obtenant des enregistrements inédits d’infractions. Certaines d’entre elles ont été publiées sur les réseaux sociaux.

Mais la DGT insiste sur le fait que son objectif n’est pas de collecter, mais pour persuader les conducteurs de ralentir et de respecter les règles de sécurité routière.

Ils ont su assimiler une nouvelle technologie telle que drone, et ils en intègrent déjà un autre : intelligence artificielle dans la reconnaissance photo et vidéo.

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